Lire en juillet, parmi les épillets

Vanilla ride de Joe R. Lansdale.
Toujours aussi jubilatoire.

...et lire ensuite en aout, parmi les espigaous.



(-:

..influencé par le visionnage hier sur Arte du film de Bunuel intitulé "Journal d'une Femme de chambre" je suis allé faire un p'tit tour en médiathèque pour l'emprunter..! Ce n'est pas de la SF, mais quelquefois en sortir est nécessaire..!

+1

Balancé dans les cordes de Jérémie Guez.

Vu le temps de chi... ! qu'il fait, je me suis laissé tenté par un roman de Laurent Genefort que je n'avais pas encore lu : LES PEAUX EPAISSES... De quoi ne pas craindre les épillets ! :-D

Comme souvent avec l'auteur (pour ce que j'en ai lu), un roman au sujet diablement intéressant, des trouvailles, de l'invention, des personnages bien en place, un p... de talent pour créer un univers qui se tient, que l'on VOIT, même, oui... mais... mais, au fil des pages et surtout à la fin, comme l'impression de quelque chose de décousu entre les chapitres, un fil de trame manquant, qui vous laisse sur votre faim (exception : "Mémoria", roman que j'ai trouvé parfait). Comme si, en fin de compte, l'ouvrage était une succession de nouvelles.
Attention ! J'adore cet auteur, et je vais lire tous les livres de lui que je n'ai pas encore lus. C'est juste que j'attends sans doute de lui une perfection totale (idiot, I know) et que ce petit "défaut récurrent" de construction (?), de lien entre les chapitres (?) pour le pauvre vermisseau de lecteur que je suis, me déçoit un peu chaque fois. Un tout petit peu...

Mon frère est parti ce matin ... de Marcus Malte.

Ah qu'il est bon de revenir un peu à la sf avant d'enchainer ma bibliographie de philo contemporaine pour l'an prochain.

Pour me détendre, relecture de la Zone du Dehors d'Alain Damasio. Et oui je ne décroche pas complétement en fait...

Salut jeune homme ;-), welcome back !

Je lis Kraken, de China Miéville, et je peine un peu, vers le milieu, je trouve ça longuet.

Fini le Lansdale, et plus ça va, plus j'admire la dichotomie de l'auteur, capable de passer du sérieux le plus noir (Les marécages) à la truculence et à l'humour toujours aussi noirs. Un peu comme Bruen, oscillant entre Jack Taylor et R&B

Pour rester dans la veine du polar, je me lance dans Les allongés de Charlie Williams.

Terminé " Mascarades " de Philippe Ward....