a quand la fin de l'ère industrielle?

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Dans environ cinquante années , on peut prévoir le déclin de l'empire industriel.(inversion des puissances.)
Déclin qui découle de la disparition de cette énergie essentielle qui est le pétrole. (carburant , fabrication des plastique....) Certain diront que celui ci est remplacable par des énergie écologique, d'autre diront que le pétrole peut actuellemnt être remplaçé par certaines essences végétales, mais le problème est que selon une étude, une production optimale de ces essences végétales ne représenterait q'un cinquiéme de la consommation actuelle de pétrole . Alors dans cinquante ans...?

Il est probable que l'avenir de la science puisse être composé d'une aliance entre la technologie et la nature . Une aliance , que dis je , une véritable osmose, un binôme, une fusion.


A comme la nature est bien faite...
Je suis plutôt optimiste pour ce futur.
L'homme ne parviendra pas finalement à détruire sa planète, car celle ci est tellement parfaite que sa constitution la sauve. La seule façon qu'elle aie de mourir est une mort naturelle...

De quoi mettre fin à de nombreux scénario apocalyptique!
Et à des utopies de mondes surindustrialisés.

ET TOUS LE MONDE S'EN FOUT,,,,,,,,,,,,,

Je croyais qu'il s'agissait d'un site pour les passionné de sf ...
et voici un thème qui a été très peu abordé dans la sf...

dommage...

Peut être parce que c'est trop proche ou trop loin. Pas facile à baliser le "contemporain ordinaire".
A ce sujet, si je me rappele bien François de Closet avait sorti un ou deux livres sur ce thème de politique fiction dans les années 70. Ca vaut ce que cela vaut, mais c'est le seul que je connaisse qui l'ai fait.
Bon évidemment de nos jours certains points font trés datés.

Sinon en plus lointain pour faire plaisir à nos amis green ( super green ) il y a le Monde vert

Agh ! On sort un peu de la SF, là. Tant pis, j'ose une réponse.
En fait, il n'y a pas de risque d'épuisement du pétrole, c'est un mythe. Il faut lire "L'écologiste sceptique" de Björn Lomborg parut l'année dernière au Cherche-Midi.
Plusieurs chapitres sont consacrés aux supposées pénuries qui nous menaceraient dans un futur plus ou moins proche.
Le cas du pétrole est examiné dans le chapitre 11. En 1920, il y avait pour 10 ans de consommation de réserve estimée. En 1960 et alors que la consommation était bien plus importante, les réserves s’élevaient à près de 40 ans. En l’an 2000 donc, tout le pétrole aurait dû être épuisé. Or les chiffres des réserves estimées en l’an 2000 sont toujours de 40 ans alors que la consommation a encore beaucoup augmentée... Le problème des catastrophistes est qu’ils ne prennent pas en compte l’ingéniosité humaine qui se traduit notamment par le progrès scientifique et technologique. Des gisements inaccessibles il y a dix ou vingt ans sont aujourd’hui exploitables et rentables. Aujourd’hui encore on ne peut extraire qu’environ un tiers du pétrole présent dans un gisement, il y a encore des progrès à faire...
Autant arrêter de se faire peur !

Je ne suis pas sure que tu sois rassurant Sylvain...

		Citation : En fait, il n'y a pas de risque d'épuisement du pétrole

A court terme peut-être pas, mais il n'en demeure pas moins que le pétrole reste une matière première limitée sur notre planète. Il a fallu plusieurs millions d'années pour former les gisements que nous exploitons et il est inutile de souligner que nous dépensons largement plus vite ce qui est à notre disposition. D'autre part, ces réserves sont très inégalement réparties géographiquement et être dépendant de ressources étrangères est toujours délicat étant donné l'instabilité politique de certains pays producteurs. C'est la raison pour laquelle il faut, en plus des problèmes de pollution, développer d'autres types de production d'énergie.

Ce sont pourtant des faits.

Mais de quoi parles tu. Je ne contredis pas ce que tu avances, j'y apporte une nuance, par ailleurs il n'y a pas de "faits", uniquement des suppositions sur les réserves dont nous disposons.

"D'autre part, ces réserves sont très inégalement réparties géographiquement et être dépendant de ressources étrangères est toujours délicat étant donné l'instabilité politique de certains pays producteurs."

Certes, mais nous sommes forcément dépendants des autres et c'est cela qui permet le développement des échanges et une plus grande prospérité. L'autarcie ne me paraît vraiment pas souhaitable.
Quant à la supposée instabilité politique de certains pays dont il faudrait se protéger, j'ai peur que ce raisonnement ne débouche sur un interventionnisme extérieur à la George Bush.

"Mais de quoi parles tu. Je ne contredis pas ce que tu avances, j'y apporte une nuance, par ailleurs il n'y a pas de "faits", uniquement des suppositions sur les réserves dont nous disposons."

Nos posts se sont croisés, je répondais à Gracie.
Il me paraît bien téméraire quand même de faire comme si nos descendants avaient les mêmes besoins, les mêmes technologies et les mêmes envies que nous. Nous ne savons pas comment nos descendants vivront dans cent ans et nous ne pouvons pas connaître les problèmes qu'ils auront à résoudre.