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08/06/2009
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Illustration : Philippe Caza Pour la présente édition :
Editeur : J'ai lu Date de parution : janvier 1982 ISBN : 2-277-21281-4
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La critique du livre
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Ce bouquin est une longue déambulation hallucinée d'un homme dont le propre destin lui échappe. Qui sont ces personnes qui l'entourent durant ses trajets ferroviaires ? Quelles sont ces villes où tout lui semble inconnu ? L'homme possède de multiples identités et sa propre mère ne le reconnaît pas !
Ayant adoré Le reflux de la nuit, je me suis de nouveau plongé dans ce roman d' Andrevon. Mon impression générale est hélas peu flatteuse. L'histoire est répétitive, ennuyeuse et rébarbative. Le personnage central n'est guère accrocheur ; ce qui rend une intrigue assez convenue, voire linéaire. De plus, j'ai senti la conclusion dès les premières pages.
L'auteur n'a pas réussi à m'amener dans des territoires obscurs comme il avait su (et avec brio) avec Le reflux de la nuit.
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" Le train l'emporte loin de Paris. Jean-Marie Perrier regarde sans le voir le paysage qui défile. Le jeune homme rêve, s'inquiète, s'interroge. D'où vient-il ? Et où va-t-il ? Sur son billet, il lit : Paris-Saint-Expilly. Malgré ses instants d'amnésie et le sentiment d'irréalité qui l'enveloppe, il se souvient de Saint-Expilly : sa ville natale. Et il reconnaît la petite cité, sa maison, mais lorsque sa mère apparaît sur le seuil, elle ne le reconnaît pas et ajoute avant de refermer : « Mon fils est mort depuis deux ans, monsieur. » Dans les rues, Jean-Marie erre, déboussole, hagard... quand un miroir lui renvoie l'image d'un inconnu, durement marqué par l'âge. Qui est-il ? D'où venait-il ? Où ira-t-il ?" |
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