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Sujet proposé le 04/01/2018 à 18h52 par Fiotox |
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RE : En 2018, du cinéma en super 8 ?
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19/06/2018 à 19h59
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Héritage : globalement d’accord avec Jim
Toni Colette est remarquable, le scénario retors à souhait, joue beaucoup sur le doute et l’angoisse, jusqu’au basculement final, quand cessent les doutes.
Sauf que la fin est loupée, son esthétique est... ridicule.
Du coup, elle plombe lourdement le film.
J’ai pensé à The witch : ambiance rurale, huis-clos et doutes, peu d’horreur frontale. Sauf que là, la fin était réussie.
J’ai profité des 50 ans de ce qui est pour moi LE FILM, pour le voir enfin au ciné.
Et là, la claque.
Magistrale.
Inoubliable.
L’image, la musique, les plans des planètes, de la Lune, tout.
Alors que je connais ce film par coeur, que j’avais vu pour la première fois gamin, et qui depuis n’a cessé de me fasciner, malgré son ésotérisme, j’ai eu l’impression de le revoir pour la première fois.
Bref, n’hésitez pas à aller revoir 2001 s’il repasse par chez vous.
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"Un monde nouveau va naître, un monde dans lequel il n'aura pas sa place. Il est trop clairvoyant pour lutter contre lui ; mais il ne feindra pas de l'aimer." George Orwell
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RE : En 2018, du cinéma en super 8 ?
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20/06/2018 à 10h59
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Hedy Lamarr : from Extase to Wifi ( Bombshell : the Hedy Lamarr story)
d' Alexandra Dean.
Révélée au monde dans les années 30 pour avoir été la première actrice à apparaître nue et dans une scène de sexe dans un film non-pornographique, elle est devenue un des visages les plus célébrés d’Hollywood, une icône du glamour.
Une image loin de la satisfaire : « N'importe quelle fille peut avoir l'air glamour », disait-
-elle, « tout ce que vous avez à faire est de rester immobile et de prendre un air idiot. »
Passionnée de technologie et d’inventions, elle souffrait d’être réduite à son joli minois et aspirais à être reconnue pour sa créativité et son ingéniosité.
Après avoir échoué à élaborer du coca-cola en comprimé effervescent, elle parviendra (avec l’aide du musicien George Antheil) à déposer un brevet pour un système de cryptage radio (qu’elle destinait au guidage des torpilles alliés) s’appuyant sur un procédé d’importance (puisqu’on le retrouve jusqu’à aujourd’hui dans les procédés Wifi, Buetooth, GPS...) : le saut de fréquence.
Une première étape pour dépasser son statut de star du celluloïd ? Ni les studios hollywoodiens ni son pays d’adoption ne lui permettront...
Essentiellement louangeur mais ne faisant pas l’impasse sur les zones d’ombre de son personnage, ce documentaire à la mise en scène somme toute classique dresse le portrait d’une femme complexe, au désir de liberté entravé par le carcan d’une société limitée.
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"Je déteste les discussions, elles vous font parfois changer d'avis."
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dernière édition : 20/06/2018 à 11h01
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RE : En 2018, du cinéma en super 8 ?
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21/06/2018 à 12h19
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Le jour du fléau ( The day of the locust) de John Schlesinger,
d’après L’incendie de Los Angeles de Nathaniel West.
Hollywood à la fin des années 30, l'âge d’or des grands studios, et une multitude d’êtres plus ou moins paumés attirés comme des papillons par une ampoule. Pétris de névroses, de rêves naïfs ou d’ambitions délirantes : des proies faciles pour un Moloch en habits de lumière.
Ambiance onirique, rythme lancinant, acteurs remarquables ( Karen Black et Burgess Meredith en tête), et ce final, bon sang, ce final !
Une belle réussite.
PS : Donald Sutherland interprète un grand benêt nommé... Homer Simpson. ^^
PPS : le roman de West est un des préférés de Ballard.
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"Je déteste les discussions, elles vous font parfois changer d'avis."
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dernière édition : 21/06/2018 à 14h13
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RE : En 2018, du cinéma en super 8 ?
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23/06/2018 à 17h15
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Hollywood à la fin des années 30, l'âge d’or des grands studios, et une multitude d’êtres plus ou moins paumés attirés comme des papillons par une ampoule. Pétris de névroses, de rêves naïfs ou d’ambitions délirantes : des proies faciles pour un Moloch en habits de lumière |
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Ca me rappelle le roman La belle vie de Matthew Stokoe. Il raconte l’irrésistible ascension à Los Angeles d'un arriviste parti de rien mais prêt à tout.
On y retrouve les ingrédients du polar (flic pourri, prostitution, trafics, magouilles, etc.), mais le roman contenait quelques passages particulièrement crus, et une indifférence clinique, qui avaient agité le landernau du polar.
Pour ma part, j'avais vraiment beaucoup, beaucoup aimé, mais à réserver à un public averti.
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"Un monde nouveau va naître, un monde dans lequel il n'aura pas sa place. Il est trop clairvoyant pour lutter contre lui ; mais il ne feindra pas de l'aimer." George Orwell
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RE : En 2018, du cinéma en super 8 ?
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23/06/2018 à 19h43
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Je ne suis pas un salaud .
De Emmanuel Finkiel (2015)
Avec Nicolas Duvauchelle, Mélanie Thierry, Maryne Cayon
Synopsis :
Après avoir traversé une période difficile, Eddie tente de se réinsérer dans la vie active. Le jeune homme, qui a notamment des problèmes de boisson, partage la garde de son fils avec sa compagne, Karine, dont il est séparé. Une nuit, lors d'une soirée passée dans un bar, Eddie se dispute avec un groupe de jeunes gens. La discussion dégénère et Eddie se retrouve au sol, après avoir été frappé de plusieurs coups de tournevis. Alors qu'il passe sa convalescence chez Karine, il accepte de témoigner pour la police. Au cours de l'identification, il affirme reconnaître un jeune homme, Ahmed. Mais celui-ci affirme qu'il n'a absolument rien à voir avec l'affaire...
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Eddie passe une période difficile , séparé de sa femme , pas de boulot , tendance à boire...
Un soir après une altercation avec une bande de jeunes en train de voler une voiture , il se fait sauvagement agresser...
Mais les choses vont changer dans sa vie , il se remet avec sa femme et trouve une boulot....
En témoignant à la police , il croit reconnaitre un de ces agresseurs , Ahmed , qui lui nie formellement être dans le coup...
Sa vie qui était redevenue "normale , commence à changer dangereusement...
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Un très bon film , même si un peu lent au début qui monte en puissance avec une excellente interprétation de Nicolas Duvauchelle ...
C'est l'histoire d'un homme mal dans sa peau , dans une société dépressive qui va péter les plombs...
Un très bon film noir ....
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RE : En 2018, du cinéma en super 8 ?
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25/06/2018 à 11h29
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| | | | | | bruss :
Je ne suis pas un salaud de Emmanuel Finkiel (2015)
Un très bon film , même si un peu lent au début qui monte en puissance avec une excellente interprétation de Nicolas Duvauchelle ... |
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Duvauchelle, dans les quelques seconds rôles où je l’ai vu, je ne l’ai jamais trouvé très convaincant ; mais quand j’ai vu la bande-annonce de ce film-ci, à l’époque de sa sortie, je me souviens m’être dit qu’il avait l’air très bon...
Je regarderai ça à l’occasion.
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Mother ! de Darren Aronofsky.
C’est par curiosité que j’empruntai le dvd de ce film parce que j’avais à son égard des aprioris négatifs. Je m’attendais à y trouver le pire du précédent film d' Aronofsky, Noé :
la parabole biblique lourdingue, l’esthétique douteuse.
Bon, il y a un peu de ça, surtout dans le dernier acte, pour l’aspect religieux ;
mais on y trouve aussi le meilleur : le suspense psychologique, l’horreur apocalyptique.
J’ai surtout aimé la première heure, pour sa tension et son atmosphère fantastique.
Ensuite vient un épisode plus solaire, moins prenant à mes yeux.
Le dernier acte, par contre, pousse tous les curseurs dans le rouge : c’est la fin du monde entre quatre murs...
Le récit se fait alors explicite voire didactique (tare trop courante du cinéma hollywoodien) mais les séquences fortes ne manquent pas.
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"Je déteste les discussions, elles vous font parfois changer d'avis."
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dernière édition : 25/06/2018 à 11h45
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Science-fiction, fantastique, fantasy : Culture SF, toutes les littératures de l'imaginaire
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