Ciné 2015 : que la fête commence

Je suis assez d'accord avec le commentaire sur Europa Report. Ça ne change pas une vie, mais on passe un bon moment.

		Citation : Euopa report : suis étonné - avait abandonné premières minutes cause faible réalisation - reconsidererait question

C'est effectivement le point faible du film. Mais je pense qu'il vaut le coup d'être vu : la hard-sf est si rare au ciné !

- Godzilla de Gareth Edwards : Quel supplice ! J'ai même hésité à le regarder en entier tellement l'ennui m'a gagné. Impossible de m'identifier au personnage principal dépourvu de charisme, un scénario indigent, bref, rien à sauver de cette bouze.

- La vie aquatique de Wes Anderson : Moins bon que Moonrise kingdom, heureusement qu'il y a Bill Murray car les autres acteurs pourraient être interchangeables.

- Dark star de John Carpenter : J'ai commis une erreur en pensant que c'était un film de s-f horrifique alors qu'il s'agit d'une comédie/parodie de 2001. A voir pour les inconditionnels du bonhomme, quelques scènes comiques et des effets spéciaux qui n'en ont que le nom (des pauvres maquettes sur un fond statique, mouarf ! Cela en devient drôle !)... Pour le reste, je me suis un peu fait chier quand même.

- La planète des singes, l'affrontement de Matt Reeves : un spectacle divertissant mais un scenario moins intéressant que le précédent. Plaisant sans être mémorable.

- 47 ronin de Carl Rinsch : ce film s'est fait massacrer par les critiques, du coup, son visionnage ne fut pas mal du tout. On sent un tiraillement entre le côté traditionnel et le fantastique qui joue en sa défaveur. Il méritait un récit plus fouillé.

- Sin city, j'ai tué pour elle de Robert Rodriguez : je suis un bon client du cinéaste, donc j'ai pris mon pied. J'attends impatiemment de connaître son prochain projet... qui devrait être l'adaptation Fire and Ice de Frazetta. La pré-prod. n'est pas encore annoncée sur imdb.

		Maralan : Dark star de John Carpenter […] A voir pour les inconditionnels du bonhomme

Ou les plus curieux. Ou les amateurs d’humour potache.
Je suis amateur du cinéma de John Carpenter (et plus particulièrement de sa mise en scène) mais je trouve ce film de fin d’études, court-métrage étiré en long, totalement dispensable.

		Maralan : Pour le reste, je me suis un peu fait chier quand même.

Itou.

		Maralan : La planète des singes, l'affrontement de Matt Reeves : un spectacle divertissant mais un scenario moins intéressant que le précédent. Plaisant sans être mémorable.

Tout pareil.

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Robocop (2014) de José Padilha.
Pas la catastrophe annoncée par sa production chaotique. J’ai même été agréablement surpris par l’aspect humain de l’histoire, plutôt développé (Gary Oldman qui joue le médecin apparaît en second au générique et ça correspond bien à sa place dans le film).
À part ça, les scènes d’actions ne m’ont guère emballé (par manque d’enjeux ou de mises en scènes fortes) ; les méchants, non plus.

La féline de Jacques Tourneur.
Nouvelle vision de ce classique, dont je pensais être passé quelque peu à côté.
Cette fois-ci, j’ai beaucoup aimé.
Je crois que la première fois, je m’attendais à une réalisation plus spectaculaire.
Là, je l’ai trouvée remarquable dans son adéquation au sujet.

King Kong de Merian C. Cooper et Ernest B. Schoedsack.
Il était temps que je vois ce monument…
Alors, certes, il n’est pas exempt de défauts (une caractérisation sommaire des personnages humains, une certaine facilité dans les enchaînements – quoique ça passe considérant le genre et l’époque – et des gros plans sur le visage de Kong qui ne lui rendent pas justice) ; mais, nom de Zeus, quel sense of wonder !

		Citation : King Kong de Merian C. Cooper et Ernest B. Schoedsack. Il était temps que je vois ce monument… Alors, certes, il n’est pas exempt de défauts (une caractérisation sommaire des personnages humains, une certaine facilité dans les enchaînements – quoique ça passe considérant le genre et l’époque – et des gros plans sur le visage de Kong qui ne lui rendent pas justice) ; mais, nom de Zeus, quel sense of wonder !

Autant de qualités qui n'échappèrent point à Philip José Farmer, qui en tirera une magnifique nouvelle, Après la chute de King Kong.

		Citation : je trouve ce film de fin d’études, court-métrage étiré en long, totalement dispensable.

argh ! c'est mon préféré ^^

		Citation : argh ! c'est mon préféré ^^

Raaah !
Je suis un inconditionnel de Snake, qui reste son chef-d'oeuvre, AMHA (et j'attends le pire du remake prévu)

		Olivier, sur le King Kong de Cooper et Schoedsack : Philip José Farmer […] en tirera une magnifique nouvelle, Après la chute de King Kong.

Superbe nouvelle, en effet.

		morca, sur Dark Star : argh ! c'est mon préféré ^^

M’étonne pas. ^^
Parce que j’ai pu constaté que nos avis divergeaient souvent sur les films de Carpenter …

		Olivier, sur New-York 1997 : j'attends le pire du remake prévu

Pour ma part, mes préférés restent The Thing et Halloween.

Et Ils ont déjà eu leurs remakes puisque que la prequelle du premier avait tout du remake déguisé…

Pour celui de New-York 1997, le choix de l’acteur principal devrait s’avèrer capital (je croise les doigts pour que ce ne soit pas Channing Tatum…)

		Citation : - Godzilla de Gareth Edwards : Quel supplice ! J'ai même hésité à le regarder en entier tellement l'ennui m'a gagné. Impossible de m'identifier au personnage principal dépourvu de charisme, un scénario indigent, bref, rien à sauver de cette bouze.

Je ne saurais mieux dire.

		Citation : Robocop (2014) de José Padilha. Pas la catastrophe annoncée par sa production chaotique. J’ai même été agréablement surpris par l’aspect humain de l’histoire, plutôt développé (Gary Oldman qui joue le médecin apparaît en second au générique et ça correspond bien à sa place dans le film). À part ça, les scènes d’actions ne m’ont guère emballé (par manque d’enjeux ou de mises en scènes fortes) ; les méchants, non plus.

Un peu comme Godzilla c'est quoi ce personnage principal inexistant ?

		Citation : - Dark star de John Carpenter : J'ai commis une erreur en pensant que c'était un film de s-f horrifique alors qu'il s'agit d'une comédie/parodie de 2001. A voir pour les inconditionnels du bonhomme, quelques scènes comiques et des effets spéciaux qui n'en ont que le nom (des pauvres maquettes sur un fond statique, mouarf ! Cela en devient drôle !)... Pour le reste, je me suis un peu fait chier quand même.

Bof. Ce qui m'a fait sourire, c'est de voir Peter Fonda reprendre la scène de surf dans Los Angeles 2013.
Sinon, J'ai toujours un faible pour Christine et l'Antre de la Folie.

		Butch, sur Robocop (2014) : c'est quoi ce personnage principal inexistant ?

Ce n'est certes pas un exemple de caractérisation, il s'oublie vite (à l'image du film) ; mais je ne vois pas en quoi il serait "inexistant"...