En 2017, de la séance ciné sois adepte.

Oui, mais moi je suis un optimiste. C'est bien pour cela que j'ai jamais vraiment été tenté de commcer cette série...

Vu ce samedi , SICARIO ...de Denis Villeneuve avec Emily Blunt , Benicio Del Toro...

Synopsis :
La zone frontalière entre les Etats-Unis et le Mexique est devenue un territoire de non-droit. Kate, une jeune recrue idéaliste du FBI, y est enrôlée pour aider un groupe d’intervention d’élite dirigé par un agent du gouvernement dans la lutte contre le trafic de drogues. Menée par un consultant énigmatique, l'équipe se lance dans un périple clandestin, obligeant Kate à remettre en question ses convictions pour pouvoir survivre.

Un sujet maintes fois abordé , mais là , le sujet est bien maitrisé dans un film qui est presque un "documentaire" , plus un jeu d'acteurs vraiment très bon ...
Benicio Del Toro est au top ...

ah ben c est vraiment pas pour toi alorss ,Bull .
Sicario non plus d ailleurs !

		bruss : SICARIO ...de Denis Villeneuve (...) un film qui est presque un "documentaire" (...) jeu d'acteurs vraiment très bon ... Benicio Del Toro est au top ...

Vu en salle, j’avais trouvé la mise en scène très forte (bien appuyée par la superbe photographie de Roger Deakins et la musique oppressante de Jóhann Jóhannsson*)

« La Bête », Ciudad Juárez, est impressionnante, effrayante.

Avec un minimum de dialogues, Del Toro est très charismatique.

J’aurais quand même aimé un scénario plus fouillé et un personnage féminin moins passif (sa dernière scène est très belle, ceci dit).


*évincé de Blade Runner 2049 : mais pourquoi !?

tj : très très bien Sicario. Ni pessimiste, ni optimiste, juste réaliste.

		Bull : Sicario (...) juste réaliste

Ok pour les atrocités dûes au cartels mexicains ;
mais pas pour la caractérisation du personnage joué par Benicio Del Toro :
un juriste qui, après que son employeur mafieux ait torturé et tué sa femme et sa fille, se forme aux métiers des armes, devient peu ou prou le meilleur mercenaire des Amériques, se fait embaucher pour des Black Ops par la CIA/DEA/etc. qui le laissent faire à peu près tout ce qu’il veut...

Jim : je parlais du cynisme de la fin. Ni optimiste, ni pessimiste. Juste réaliste.
Les personnages, et même le scénario eux par contre..."suspension of disbelief"?

Ah, d'accord... Ni optimiste, ni pessimiste, en effet.

Pas de la SF, mais du documentaire, sur un évènement qui a pas mal marqué la sf : la vaste fresque de Ken Burns sur le Viêt-Nam, diffusée sur Arte ces derniers jours.
Magistral, tout simplement.