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Sujet proposé le 02/01/2017 à 16h53 par Jim |
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RE : En 2017, de la séance ciné sois adepte.
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16/02/2017 à 10h59
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Intacto de Juan Carlos Fresnadillo.
Dommage que ce réalisateur ait un peu perdu le fil de sa carrière après ce premier film (en signant l’inégal 28 semaines plus tard et le très oubliable Intruders) parce que celui-ci est un beau coup d’éclat.
Le sujet est insolite : la chance est une énergie vitale ; certains individus en sont mieux dotés que d’autres et sont qui plus est capable de la voler à autrui, par simple contact, et de l’accumuler. On suit le parcours de l’unique survivant d’un accident d’avion pour découvre ce monde interlope ou des « joueurs » risquent leurs vies pour accroître leur chance au maximum.
Avec peu d’effets, Fresnadillo parvient à instaurer une ambiance prenante où l’excitation du thriller se double d’une sourde mélancolie, et qui m’a beaucoup plu.
( la critique de Lucius Shepard)
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Les voitures qui ont mangé Paris de Peter Weir.
Ne se fier ni à cette affiche-ci ni à celle-là, le premier long-métrage de l'excellent réalisateur australien ne prend pas plus place en Île-de-France (ou au Texas) qu’il ne ressort de l’action à tendance horrifique.
En effet, la voiture hérissée de pointes (qui rappelle furieusement un véhicule du dernier Mad Max : probable hommage de George Miller à une œuvre qui l’influença certainement pour le premier film de sa saga) n’apparaît que tardivement dans un récit qui tient de la farce et de la comédie noire.
C’est la chronique d’une curieuse communauté de naufrageurs de la route, d’un village dont toute l’économie et la culture semble dépendre de l’exploitation des épaves des voitures et dont le maire illuminé se prend d’affection pour le survivant d’un de ces accidents provoqués.
C’est souvent brouillon et ça manque clairement de moyens ; mais c’est d’une originalité rafraîchissante.
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"Je déteste les discussions, elles vous font parfois changer d'avis."
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dernière édition : 16/02/2017 à 11h36
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RE : En 2017, de la séance ciné sois adepte.
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17/02/2017 à 18h16
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Jamais de la vie ..
avril 2015 (1h 35min)
De Pierre Jolivet
Avec Olivier Gourmet, Valérie Bonneton, Marc Zinga .
Genre Policier
Nationalité Français
Synopsis :
Franck, 52 ans, est gardien de nuit dans un centre commercial de banlieue. Il y a dix ans, il était ouvrier spécialisé et délégué syndical, toujours sur le pont, toujours prêt au combat. Aujourd’hui il est le spectateur résigné de sa vie, et il s’ennuie. Une nuit, il voit un 4x4 qui rôde sur le parking, et sent que quelque chose se prépare… La curiosité le sort de son indifférence et il décide d’intervenir. Une occasion pour lui de reprendre sa vie en main…
Un film sombre avec un très bon Olivier Gourmet .Même s'il ne se passe pas grand chose au début , l'histoire devient vite un thriller passionnant ..
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RE : En 2017, de la séance ciné sois adepte.
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24/02/2017 à 20h23
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New York Doll
De Greg Whiteley (2005)
Avec Arthur Kane, Barbara Kane, Nina Antonia
Genres Documentaire, Musical
Synopsis :
Arthur "Killer" Kane, membre du groupe de glam rock The New York Dolls, qui connut son heure de gloire dans la première moitié des années 70, tente, après avoir sombré dans l'alcoolisme et être devenu Mormon, de renouer avec le succès en ressuscitant la célèbre formation musicale.
Un reportage assez émouvant sur les retrouvailles des 3 membres restants d'un groupe Rock des années 70 ...
Arthur est mort quelques mois après ce documentaire ...
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RE : En 2017, de la séance ciné sois adepte.
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25/02/2017 à 11h22
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Split de M. Night Shyamalan.
On espérait que Shyamalan renoue avec les belles mécaniques du temps de sa gloire (de 6ème sens au Village) et, ma foi, je dirais qu’il y a plutôt réussi…
Partant d’un sujet somme toute classique pour une série B horrifique (des jeunes filles kidnappées par un dingue aux personnalités multiples) et d’un budget relativement limité (qui à mon sens ne transparait nullement à l’écran), le réalisateur retrouve de la vigueur dans sa mise en scène et livre un thriller efficace et ludique (et qui n’hésite pas à emprunter les chemins du surnaturel).
James Mc Avoy s’en donne à cœur dans son rôle pluriel, avec des résultats inégaux mais que je trouvai parfois impressionnants. Quant à Anya Taylor-Joy (la révélation de l’excellent The Witch), elle impose à nouveau son visage atypique dans le cinéma hollywoodien.
(Si certaines critiques utilisent le terme de twist au sujet d’une des scènes finales, c’est à tort car elle ne change pas de façon essentielle la lecture de l’histoire qui la précède – mais affaiblit à mon avis sa fin en cédant au fan service et la stratégie de promotion d’une suite)
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Babycall de Pål Sletaune.
On ne rigole pas dans ce film tant les sujets qu’ils brassent sont lourds (maltraitance, angoisse parentale, incommunicabilité). Néanmoins, cette histoire qui joue sur l’hésitation du fantastique se suit bien grâce à une habile utilisation des décors et, surtout, à la belle interprétation de Noomi Rapace (que je trouve décidemment bien meilleure dans des productions suédoises qu’américaines).
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La maison du diable ( The haunting) de Robert Wise, d’après le roman de Shirley Jackson.
Seconde vision de ce classique du genre et encore une fois j’ai du mal à y voir le chef d’œuvre tant vanté…
Ceci dit, ça m’a davantage plu cette fois-ci : j’ai trouvé le décor superbe, la mise en scène parfois brillante et j’ai été plus sensible au parcours tragique du personnage joué par Julie Harris.
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RE : En 2017, de la séance ciné sois adepte.
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25/02/2017 à 13h47
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| | | | | | Citation :
Un reportage assez émouvant sur les retrouvailles des 3 membres restants d'un groupe Rock des années 70 ...
Arthur est mort quelques mois après ce documentaire ... |
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Sur le même sujet, tu as un très bon fillm de fiction, Velvet goldmine, qui revient sur le Glam rock.
| | | | | | Citation :
On ne rigole pas dans ce film tant les sujets qu’ils brassent sont lourds (maltraitance, angoisse parentale, incommunicabilité). Néanmoins, cette histoire qui joue sur l’hésitation du fantastique se suit bien grâce à une habile utilisation des décors et, surtout, à la belle interprétation de Noomi Rapace (que je trouve décidemment bien meilleure dans des productions suédoises qu’américaines). |
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+1 : j'avais beaucoup aimé ce film, autrement mieux que Prometheus et consorts.
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"Un monde nouveau va naître, un monde dans lequel il n'aura pas sa place. Il est trop clairvoyant pour lutter contre lui ; mais il ne feindra pas de l'aimer." George Orwell
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