En 2019, mes lectures ne sont pas du bluff

Sur la Révolution culturelle, il y a Balzac et la petite tailleuse chinoise de Dai Sijie.
Pas de la sf, mais un excellent roman, que son auteur adaptera au ciné, pour en faire un excellent film.

Roman sur l’indicible, sur les souvenirs évanescents qui se dérobent sans cesse lorsque l’on cherche à se les remémorer ou à les interpréter, Ombres sur la Tamise évoque l’incertitude des récits de Christopher Priest. Portrait impressionniste d’une femme engagée dans la guerre secrète, revu à l’aune du pouvoir transformateur de la mémoire de son fils, le roman de Michael Ondaatje ne craint pas de réveiller de vieux démons afin d’envisager l’avenir avec plus de sérénité. Vraiment excellent !

		Le Gaidol : Anniversaire oblige, le numéro 95 de la revue des Mondes imaginaires est consacré à la Lune, avec quatre nouvelles au sommaire dont un texte inédit. On commence avec Les Homme-Fourmis du Tibet, un hommage aux Premiers hommes dans la Lune assez besogneux, même si le dénouement apocalyptique est bien dans la manière de Stephen Baxter.

Je n'ai lu que le Baxter pour l'instant, et je confirme. Le texte est vraiment poussif et besogneux, malgré un halo de mystère, du moins au début. La fin est une grande réussite. Mais la narration est totalement loupée, et le texte bien trop long.

Une camionnette qui servait de volière - Brice Tarvel .

A l'aube des tenèbres fut une excellente lecture. D'accord avec Dick. C'est une romans religieux abordé sur le plan strictement sociologique (et politique). Toutes traces de spiritualité, de métaphysique, sont strictement effacées. J'ai attaqué Markham, ou, La dévoration du sous-traduit Mike Resnick; ça se présente, pour l'instant, comme une évocation plutôt à charge, de Comment j'ai retrouvé Livingstone et À travers le continent mystérieux de Stanley.

Misery de Stephen KIng.
Que je n'avais jamais lu.

		Butch : A l'aube des tenèbres fut une excellente lecture.

J’attendais ton avis, je l’espérais positif ; c’est le cas : je suis content. ^^

Je compte bien creuser l’œuvre romanesque de Leiber, un jour ou l’autre
(j’ai déjà pu constater qu’il peut être un brillant nouvelliste).

Cet À l’aube des ténèbres, je le vois souvent chez les bouquinistes,
avec l’illustration de Tibor Csernus,
je l’achèterai la prochaine fois que je l’y trouverai.

C'est bien la première fois que quelqu'un reconnait attendre mon avis. J'ai pas l'habitude. Ben .. à ton service.

The poppy war : avis mitige : une premiere partie tres reussie , type "coming of age " dans le contexte (a peine) imaginaire d'une Chine legerement fantastique et des conflits repetes avec le voisin japonais , une deuxieme partie qui traite de la nieme iteration du conflit plus plan plan et qui ne tient pas les promesses des debuts . Premier tome d une trilogie , curieux de savoir dans quel sens ca va basculer , mais j ai un peu peur ...

Winter tide : une enieme Lovecrafterie , avec un traitement bien dan l air du temps . Soit . Mais la ou Cantero faisiat un bouquin sympa avec Meddling Kids , ici l interet se perd tres vite car c 'est lent ... tres lent ... trop lent .. ca tourne en rond ferocement et du coup mon interet est en trai nde s'evanouir a vitesse V ...

Markham, ou, La dévoration fut un bonne petite lecture estivale. sans être un chef d'oeuvre, il présente un florilège de personnages, des dialogues à la Hammett, et un salopard flamboyant.
J'attaque La ménagerie de papier de Ken Liu.