En 2025, que la lecture te requinque

		Citation : Relecture de "Hypérion". Une trentaine de pages lues. Et puis finalement non, j'abandonne.

Sage décision.
Quant à moi, je viens de lire le pire Ben Bova du cycle du Grand Tour, New Earth. On dirait du Jimmy Guieu.

		BC : Sage décision.

Non, pas bonne décision du tout ! Hypérion en audio c'est à essayer.

J'attaque Étoiles mourantes de messieurs Ayerdhal et Dunyach.

		Butch : J'attaque Étoiles mourantes de messieurs Ayerdhal et Dunyach.

Je l'ai lu il y a quelques années, maintenant. J'ai noté "31/1/11" au début du livre, que j'ai extrait du fin fond de ma bibliothèque perso. C'était plus tôt sympa, ça ressemblait à du Alastair Reynolds mais... en moins bien.

Pour l'instant, j'en ai un peu rien à foutre de ce qui arrive aux personnages en essayant d'être indulgent vis à vis d'un sens of wonder niveau France 3.

L'oeil était dans la tombe - B. R. Bruss .

As-tu mérité tes yeux ? d'Eric LaRocca n'aura pas été le texte "coup de poing" que j'espérais.

Si le récit reste prenant, je l'ai trouvé trop inégal, alternant des passages évocateurs (l'affirmation, la salamandre, le rêve), voire atroce ("le petit Christ"), avec d'autres bien plus plats.

Sur la longueur d'un roman, une succession de temps forts et faibles, de chaud et de froid, peut servir l'histoire ; mais dans le format, court, de cette novellette étirée (c'est le cadre d'échanges de lettres et conversations en ligne qui lui fait atteindre la stade de la novella), ces baisses de régimes sont trop visibles et pénalisantes.

Comme il sied aux (bons) textes de splatterpunk, les horreurs ne sont pas gratuites, il y a un propos (ce qu'aiment à rappeler les auteurs à l'origine du terme, comme David J. Schow ou John Skipp, ce dernier étant cité en remerciements) et un sujet digne d'intérêt : un phénomène d'emprise, destructeur, s'exerçant sur une personne en position de faiblesse – en l'occurence, une lesbienne rejetée par ses parents et en difficulté financière.
Mais le crescendo que pouvait faire attendre le titre original (Things Have Gotten Worse Since We Last Spoke) ne se réalise pas et les derniers chapitres me sont apparus trop sages.

		Citation : As-tu mérité tes yeux ? d'Eric LaRocca n'aura pas été le texte "coup de poing" que j'espérais.

Outre mon scepticisme sur cette collection, tu confirmes ce qui a été dit de ce livre à la Salle 101.

		Olivier : Outre mon scepticisme sur cette collection, tu confirmes ce qui a été dit de ce livre à la Salle 101.

Ouille... L'émission commence directement avec une anecdote politique ridicule. J'ai laché l'affaire.

Le robot qui rêvait d’Asimov.