Lectures : en 2020, pas de livres vains

		Citation : Philip K. Dick - L’œil dans le ciel

Le premier bon roman de Dick, mais aussi le premier roman dickien.
L’idée est bonne, mais le traitement est un peu trop didactique.
Ce n’est qu’avec le roman suivant que Dick deviendra, à les yeux, un auteur majeur.

Lu une demi-douzaine de nouvelles de Rich Larson, issues de son recueil Tomorrow factory.

J'ai bien aimé.
Si le cadre de ces textes, d'influence cyberpunk/NSO, n'est guère original, j'ai trouvé qu'ils bénéficiaient d'une belle capacité d'immersion : on se retrouve très vite au plus près des personnages, dans des univers ultratechnologiques.

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Je continue avec de la fiction courte et entame le recueil de Paul Véry, Tout doit disparaître le 5 mai.

Le livre d’or de Michael Moorcock, orchestré par Maxim Jakubowski.
J’en suis à la préface, aussi passionnante qu’originale, sous forme d’abécédaire.

Yama Loka Terminus - Leo Henry et Jacques Mucchielli - L'altiplano

C'est Laure Afchain qui m'avait raconté les circonstances dramatiques du décès de Jacques Mucchielli

Felix Feneon, (1861-1944) le Fredric Brown des faits divers et ancêtre de Twitter

http://asl.univ-montp3.fr/e54slm/FeneonNouvellesEn3lignes.pdf

Un premier roman prometteur, flirtant avec le conte philosophique, peut-être parfois sur-écrit, et qui n'est pas sans rappeler Rousseau ou Christian Charrière.

Après un Moorcock fort décevant, je lis le Livre d’or de Norman Spinrad.

Re - lecture de L'autoroute sauvage de Gilles Thomas , toujours aussi bon .

Fini le Spinrad, vraiment bon dans l’ensemble, même si je n’ai pas accroché à tous les textes.

Je commence le numéro 6 d’Etoiles vives, consacré au regretté Andrew Weiner, avec en plus Hodge et Swanwick.

Article du monde aujourd’hui sur Deon Meyer dont le dernier bouquin est un post apo ( fort bon au demeurant) sur un monde dévasté par un coronavirus ( synthétique , donc ça va rendre hystérique les complotistes ´).lu il n y a pas longtemps, mais je l avais oublié!