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Sujet proposé le 06/01/2015 à 17h32 par Olivier |
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RE : Ciné 2015 : que la fête commence
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07/08/2015 à 20h18
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| | | | | | Olivier :
le trop oublié Charles Beaumont |
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La jungle, chouette nouvelle ; je ne me souviens pas de l'épisode.
En révolutionnaire/dictateur d'Amérique centrale ; celui-ci, je m'en souviens.
| | | | | | Olivier :
mention spéciale pour Buster Keaton, qui alterne muet et parlant dans un scénario de Matheson himself ! |
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Oh ! il faut que je vois ça.
Il ne va passer dix ans avant que je me la (re)fasse cette série...^^
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Je suis également sur du vintage, de même époque. Mais pas de SF : The Alfred Hitchcock hour.
Là aussi, du beau monde à l'écriture et à l'interprétation.
C'est inégal, forcément, et certains gros morceaux annoncés m'ont un peu déçu : J'ai tout vu, l'épisode réalisé par Hitchcock, n'offre pas de plus-value en terme de mise en scène, mais l'intrigue est ingénieuse ; l'histoire servant l'épisode avec James Mason et Angie Dickinson l'histoire ne m'a guère emballé (mais l'actrice est un régal pour les yeux...^^)
Je me suis arrêté - parce que je prends mon temps - à l'épisode Annabelle , un petit bijou.
Robert Bloch adapte une histoire de Patricia Highsmith, et si je ne l'avais su, j'aurais pensé, notamment en raison de sa chute, qu'elle était de Bloch lui-même !
Et Dean Stockwell y excelle dans le rôle de rôle de l'amoureux vraiment fou.
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"Je déteste les discussions, elles vous font parfois changer d'avis."
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dernière édition : 07/08/2015 à 20h19
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RE : Ciné 2015 : que la fête commence
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28/08/2015 à 11h31
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Deux séries B d’hier et d’avant-hier.
The blob de Chuck Russell,
remake du film de 1958 avec le jeune Steve Mc Queen.
Cousu de fil blanc avec ses personnages de lycéens (le-rebelle-qui-au-fond-n’est-pas-mauvais-garçon / la-pom-pom-girl-qui-en-fait-n’est-pas-nunuche) qui vont sauver la petite ville américaine de la chose d’outre-espace et de la malveillante organisation gouvernementale, le film remplit néanmoins son office par ses effets spéciaux efficaces (hormis quelques incrustations criardes) et son gore bon enfant.
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La cité pétrifiée ( The monolith monsters) de John Sherwood.
Il y a trop de personnages qui ne soient autre chose que fonctionnels dans ce film ; mais ce n’est pas rédhibitoire tant les stars sont ces roches qui croissent à atteindre des proportions gigantesques, avant de s’effondrer sous leur propre poids et croitre à nouveau sur leur avancée.
Je trouvai que la belle simplicité des effets spéciaux avait quelque chose d’hypnotique…^^
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RE : Ciné 2015 : que la fête commence
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01/09/2015 à 09h33
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Dans mon esprit, il faisait partie, avec John Carpenter et George Romero, d’une Trinité de réalisateurs stars de l’horreur et du fantastique américain des années 70 et 80 (si je ne cite pas Tobe Hooper, ce que je ne connais encore que trop peu son œuvre…)
Ne trouvant dans ses films ni les qualités de mise en scène du premier ni la charge politique du second, constatant qu’après de premiers longs métrages chocs, il eut tôt fait de signer des nanars (La créature du marais, L’amie mortelle…), je ne lui prêtais d’abord pas la même considération qu’à ses illustres collègues. Toutefois, quelle qu’inégale puisse être sa filmographie, force a bien été de constater son importance et son influence.
Wes Craven, pour moi, c’était d’abord quatre films phares :
_La dernière maison sur la gauche et La colline a des yeux : deux œuvres cruelles dont la radicalité rattrape la facture maladroite (le réalisateur reconnaissait qu’à l’époque il était encore largement incompétent en terme de montage, que ces premiers films furent sa véritable école de cinéma) ;
_Les griffes de la nuit : la naissance d’une icône du genre dans une des réalisations les plus abouties de son auteur ;
_Scream : un thriller horrifique rafraîchissant qui s’il joue beaucoup du second degré n’en oublie pas pour autant qu’il se doit de fonctionner au premier…
J’aime également : Shocker, divertissant démarquage des Griffes de la nuit ; Le sous-sol de la peur, conte de fées pervers ; et les trois quarts de L’emprise des ténèbres, à l’atmosphère envoûtante.
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RE : Ciné 2015 : que la fête commence
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04/09/2015 à 13h49
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Ciné : Le tout nouveau testament, de Jaco Van Dormel avec l'excellent Benoit Poelvoorde, dont le scénario a été co-signé par le très recommandable Thomas Gunzig.
C'est très belge : loufoque, irrévérencieux, fantaisiste et loufoque jusqu'au surréalisme.
J'ai beaucoup, beaucoup aimé.
A propos de Wes Craven :
A cette liste de films, j'ajoute toutefois My soul to take, film confidentiel et certainement son plus personnel. Il est vrai qu'il n'avait pas le génie de ceux que tu as cité (auxquels j'ajoute Argento pour la même période), mais je trouve qu'il avait quelque chose de viscéral, notamment dans ses deux premiers films.
Et j'ajoute aussi le dernier Freddy, qui reprend le principe de La nuit américaine de Truffaut, puisque l'horreur se passe sur le tournage du dernier Freddy, avec bien sûr Craven dans son propre rôle. Il est l'un des rares à avoir repris dans l'horreur des procédés jusque-là utilisés par le cinéma mainstream, tels la mise en abyme.
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"Un monde nouveau va naître, un monde dans lequel il n'aura pas sa place. Il est trop clairvoyant pour lutter contre lui ; mais il ne feindra pas de l'aimer." George Orwell
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RE : Ciné 2015 : que la fête commence
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13/09/2015 à 12h44
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Traitement de choc d'Alain Jessua.
Histoire de genre classique (une élite cherche à s'approprier la jeunesse éternelle, sans scrupule aucun quant aux moyens à employer) mais efficacement menée, mélant suspense atmosphérique (je n'ai pu m'empêcher de songer à Ballard, époque Super-Cannes), satire frontale de la grossièreté des nantis et touches gore (rares mais bien placées).
Décidément, après Les chiens et Paradis pour tous, le cinéma de Jessua, quoiqu'un peu brouillon, me plaît bien : si l'occasion se présente, je creuserai volontiers son oeuvre (de préférence avec La vie à l'envers, Jeu de massacre ou Armaguedon).
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