En 2016, que tes avis ciné point ne taise.

Sans oublier les femmes qui passent leur temps à crier et à qui il faut tout expliquer.
Ceci dit, le film comporte quelques scènes saisissantes de villes abandonnées et une atmosphère surannée pas trop décrépite.

Le Neuvième Escadron de Fiodor Bondartchouk .

Synopsis :
En 1988, le conflit entre l'Union soviétique et l'Afghanistan fait rage. De jeunes recrues revenant d'une cérémonie militaire décident de s'engager dans le neuvième escadron, réputé pour ses soldats prêts à affronter les situations les plus dangereuses. Mais ce prestige a un prix, et les jeunes hommes subissent bientôt un entrainement extrêmement éprouvant dans la vallée de Fergana, en Ouzbékistan. Ils se retrouvent, quelque temps plus tard, au sein d'une bataille sanglante et décisive contre des moudjahidin...

Tiré d'une histoire vraie , ce film est un peu le Full Metal Jacket à la Russe ...
On y voit voit l'entrainement d'un groupe d'appelés , leur vie dans un camp en Afghanistan puis le combat final...
J'ai bien aimé ce film très violent , même si la fin est un peu trop exagéré dans le côté patriote ...

Si vous avez vu (ou allez voir – ce n’est sorti qu’hier) The witch de Robert Eggers, je serais particulièrement intéressé par vos avis.

J’y allais avec quelque méfiance, eu égard à l’étiquette « buzz ciné fantastique de l’année » qui dans le passé récent accompagnait à mon avis de belles baudruches, et je dois dire que j’ai été emballé…

En parlant de ciné, quelqu'un a-t-il lu Hollywood Babylone de Kenneth Anger ?

		Citation : Si vous avez vu (ou allez voir – ce n’est sorti qu’hier) The witch de Robert Eggers, je serais particulièrement intéressé par vos avis. J’y allais avec quelque méfiance, eu égard à l’étiquette « buzz ciné fantastique de l’année » qui dans le passé récent accompagnait à mon avis de belles baudruches, et je dois dire que j’ai été emballé…

Itou.
J'ai vraiment été emballé par la reconstitution de l'époque. La fin est magnifique.

		Olivier, à propos de The witch : La fin est magnifique.

Je plussoie. Les deux derniers plans sont superbes.

Le Mur invisible de Julian Roman Pölsler

Synopsis :
Une femme se retrouve seule dans un chalet en pleine forêt autrichienne, séparée du reste du monde par un mur invisible au-delà duquel toute vie semble s’être pétrifiée durant la nuit. Tel un moderne Robinson, elle organise sa survie en compagnie de quelques animaux familiers et s’engage dans une aventure humaine bouleversante.

Une femme part dans un chalet de montagne isolé et se trouve bloquée par un mur invisible .
Avec son chien Lynx ,elle cherche une issue sans trouver ...
Elle va organiser sa vie avec comme seuls compagnons , son chien , une vache et un chat ...
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Tiré du best-seller de l'Autrichienne Marlen Haushofer " Le mur Invisible , ce film à la limite du fantastique m'a ébloui ...pas ou peu de dialogues puisque nous avons juste la lecture du journal de cette dernière , des images magnifiques paysages et animaux et belle musique ;on peut trouver à redire sur le pourquoi de cette situation , mais on vit cette aventure au rythme des images et des jours qui passent ...
Aussi une réflexion sur le rapport humain animaux bien plus profond que l'on pourrait le croire ...
Vraiment un film admirable ...

Tu donnes envie, bruss.

J'avais raté la diffusion du film sur arte ; je compte bien me rattraper.

Deux vieilleries : Le bal des vampires et Frantic de Polanski.
C'est dans les vieux pots que l'on fait la meilleure soupe, mais ce ne sont pas mes préférés (Rosemary's baby et Chinatown).

		bruss : Le Mur invisible de Julian Roman Pölsler

Vu : je souscris à tes éloges.

		Olivier, sur la filmo de Polanski : mes préférés (Rosemary's baby et Chinatown)

Itou

(avec Le locataire)

(et je serais très curieux de voir son Macbeth…)

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Chronic de Michel Franco.

Un film sur un sujet sensible (l’accompagnement de personnes souffrant de maladies graves) porté par un beau personnage, excellemment interprété par Tim Roth,
MAIS une dernière scène que je trouve proprement honteuse.
Rarement ai-je autant été énervé par une ultime pirouette scénaristique
(et dire qu’un jury cannois lui a attribué un prix du meilleur scénario…)