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Sujet proposé le 02/01/2017 à 16h53 par Jim |
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RE : En 2017, de la séance ciné sois adepte.
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29/06/2017 à 11h51
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Wonder Woman de Patty Jenkins.
Alors, certes, Gal Gadot est catastrophique dès qu’elle doit jouer une scène dramatique mais heureusement elle a aussi à participer à beaucoup d’action et de comédie (ce dernier aspect a plutôt bien fonctionné sur moi – et sur la salle en général, comble en cette soirée de Fête du Cinéma).
Il y a encore des moments où ces satanés effets numériques ont un rendu horriblement désincarné ; cependant, le final se passant de nuit en atténue assez les défauts.
Enfin, le couplet sur la force de l’Amour est bien indigeste.
Mais, pour être tout à fait franc, tout compte fait, j’ai passé un bon moment, le meilleur depuis longtemps face à un film de super-héro(ïne)s.
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| | | | | | bruss :
Un homme (...) réalisé par John Sturges avec Spencer Tracy, Robert Ryan, Lee Marvin. |
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À celui-ci, je n’ai pas beaucoup accroché, du moins pas autant que je l’espérais au regard du sujet et du casting (à ceux que tu cites s’ajoutent Ernest Borgnine, Anne Francis, Walter Brennan.. !)
Je crois que ça tenait surtout à Spencer Tracy : je ne saurais dire pourquoi mais je n’adhère pas à son jeu (y compris dans le Furie de Fritz Lang, un grand film pourtant !)
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Le coup de l’escalier ( Odds against tomorrow) de Robert Wise.
Je suis partagé.
J’aime ce qui semble être le projet du film : ancrer le film de braquage dans une réalité humaine, une vérité psychologique. Les protagonistes en sont un ex-détenu, inadapté, chômeur, qui vit mal d’être entretenu par sa femme ; un joueur endetté, divorcé du fait de son addiction mais toujours amoureux et qui n’a sa fille en garde que certains week-ends ; un flic à la retraite, vivant de peu après s’être fait saquer pour avoir refusé de dénoncer des collègues. Le casse en lui-même est réduit à la portion congrue, les scènes d’attente sont prépondérantes et les difficultés naissent surtout du racisme du personnage de Robert Ryan envers celui d’ Harry Belafonte.
D’un autre côté, ce casting de stars et de gueules me parait aller un peu à l’encontre du sujet, la scène finale servir plus à amener la réplique qui suit qu’à assurer la cohérence de l’ensemble et je me suis parfois ennuyé...
Une curiosité, en tout cas (et le film préféré de Jean-Pierre Melville).
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"Je déteste les discussions, elles vous font parfois changer d'avis."
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RE : En 2017, de la séance ciné sois adepte.
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30/06/2017 à 10h59
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The invasion (2007) – Oliver Hirschbiegel puis James McTeigue.
Dernière adaptation en date de The body snatchers, le classique de Jack Finney.
Manquer de générer la moindre tension à partir d’un tel sujet est une gageure,
les responsables de ce film y parviennent haut la main.
Je n’ai pas tenu jusqu’au bout.
PS : la critique de Lucius Shepard.
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"Je déteste les discussions, elles vous font parfois changer d'avis."
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dernière édition : 30/06/2017 à 10h59
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