En 2024, devant de bons films tu vas t'ébattre

Frankenstein Junior (Young Frankenstein) de Mel Brooks.

Je n'avais encore jamais vu ce classique de la comédie, parodie des films de James Whale. Je me suis régalé. ^^

Rempli de gags "hénaurmes", par les dialogues ou des visuels digne du cinéma muet. Avec des acteurs et actrices qui semblent s'amuser comme de beaux diables (Gene Wilder, déchaîné en Baron Frankenstein ; Marty Feldman, iconique en Igor...). Le tout sis dans un noir et blanc velouté. Que demande le peuple ?

Cherry 2000 de Steve De Jarnatt. Un piteux navet.
Un film qui confirme un triste constat : Le chat qui fume est de moins en moins synonyme de qualité en matière de cinéma bis et de genre.
Les chefs-d’œuvre appartiennent-ils au passé de leur catalogue ?

Saison 2 de The Terror Infamy . . Cette histoire de fantômes dans une communauté Américano-Japonaise , ne m'a pas vraiment emballé . J'ai eu du mal à arriver au bout ...

Hou Handling the undead vient de sortir . Va falloir que je trouve un creneau pour aller le voir je pense qu'il ne va pas rester lontemps . L'horreur c 'est pas ma came , mais les adaptations de Lindqvist, ( Let the right one in , Border) ont toujours été intenses ( et geniales dans le cas de Let the right one in)

Special effect de Larry Chen, virtuose du bis et habile scénzriste (Phone game, c’est lui).
Une femme a fuit son mari et son fils pour tenter une carrière d’actrice d’actrice à New York.
Son mari la retrouve et elle s’enfuit. Elle se réfugie chez un cinéaste sulfureux et génial, qui la tue.
Le mari se retrouve accusé.
Le cinéaste décide de filmer cette histoire, avec dans le rôle du mari… le mari !
Dans cet excellent thriller, Cohen, outre une mise en abyme, fait le portrait remarquable d’un pervers en plein hubris, qui ne manque pas d’interpeller le spectateur, en pleine affaire Godrèche.
Cce film était curieusement inédit en France. Tragique erreur enfin réparée.

		Olivier : (...) triste constat : Le chat qui fume est de moins en moins synonyme de qualité en matière de cinéma bis et de genre. Les chefs-d’œuvre appartiennent-ils au passé de leur catalogue ?

Je trouve aussi une baisse de régime, au regard des parutions récentes.
Cependant, je reste optimiste.

Côté chefs-d'œuvres, dans leurs prochaines sorties, le Matewan de John Sayles, sur le massacre (brisage de grèves) du même nom, a la réputation d'en être un.

		bruss : Saison 2 de The Terror Infamy . . Cette histoire de fantômes dans une communauté Américano-Japonaise , ne m'a pas vraiment emballé .

Dans des camps d'internement post-Pearl Harbor...
Ça me fait penser au roman The Fervor.

		Olivier : Special effect de Larry Cohen, virtuose du bis et habile scénariste

Chez Larry Cohen, je trouve trop souvent que la mise en scène n'est pas à la hauteur des scénarios.
Je tenterai quand même ce Special effect, à l'occasion.

Je ne suis pas fan non plus de Cohen.
Mais sa façon de filmer New York, ses décors (le loft du réal) et surtout son jeu de miroirs (le réalisateur qui dirige la scène racontant le meurtre qu’il a commis) et son absence d’effets spéciaux (souvent fauchés et à la limite du ridicule) font de ce film une réussite.

Soudain seuls (2023) avec Avec Gilles Lellouche, Mélanie Thierry .
Un couple se retrouve seul sur un îlot perdu de l'Antarctique après la disparition de leur bateau suite à une tempête .
Les deux acteurs font le boulot dans ce huit - clos de survie .

BA d'Alien Romulus en VF : https://youtu.be/CCgmK28jwKo

La nuit qui ne finit pas de Sidney Gilliat.

Adaptation d'un roman tardif d'Agatha Christie, entre mélodrame et intrigue criminelle (en cottage).
Le suspense est plaissant à défaut d'être hautement palpitant.
La mise en scène est classique, hormis quelques effets de montages, astucieux, dans le final.
La musique est de Bernard Hermann.