En 2024, oublie les JO de Paris et de faire baisser ta PAL fais le pari

La maison des mortes : Ravensbrück de Denise Dufournier.

Le Seuil - Thomas Clearlake .

		bruss : Le Seuil - Thomas Clearlake .

Je vais le lire dans les jours qui arrivent. Poiur l'instant je lis Aliénés.

Excursion en territoire Tiptree, suite et fin.

Nous te saluons, Ô Terre ! (Parimutuel Planet).
Une nouvelle des débuts (1969) qui décrit le quotidien, riche en péripérities, du superviseur d'une planète servant d'"hippodrome" galactique.
Quiproquos multiples entre espèces venant des quatre coins du cosmos : ça ressemble à du Jack Vance, avec beaucoup d'humour (et une touche de gravité vers la fin).

L'homme grenouille qui plongea dans l'Éternité (The Boy Who Waterskied to Forever).
Une nouvelle tardive (1982), partie d'un court cycle consacré à l'état mexicain du Quintana Roo, dernier bastion de la culture Maya.
Ce texte fantastique me fait penser aux récits que Lucius Shepard situaient au Honduras ou au Salvador, avec une belle attention portée aussi bien à la nature qu'à l'humain.

Quatrième mutation - Jan de Fast .

Fini le Butler, et j’ai rarement lu une oeuvre d’une telle force.
Un livre incroyable, exceptionnel.

Je commence Architectes du vertige au Bélial.

Dirty week-end - Helen Zahavi .

Aquarium - David Vann .
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J'aborde L'autre île du Docteur Moreau de Brian Aldiss.

J'aime beaucoup le roman de Wells mais pour ce qui est des lectures d'Aldiss j'ai connu des fortunes diverses.
En les récapitulant, je constate que je n'ai pas lu deux de ses ouvrages traduits par la même personne...
Cette fois-ci, c'est Jacques Chambon, qui ne m'a jamais déçu dans l'exercice, qui s'y est collé ; et ça commence bien.

Architectes du vertige : pas si vertigineux, assez inégal outre mon hermétisme aux textes de Galaxies (Dunyach et surtout Lainé, dont le titre emprunté à Aragon ne m'annonçait déjà vraiment rien de bon, tant je déteste Aragon)., ainsi qu'à Laurent Genefort.
L'antho a au moins le mérite de rendre à nouveau dispo, dans une bien meilleure traduction, meucs de Bisson (alors que les textes les plus récents sont presque tous disponibles autrement, voire en poche).

Je commence De l'espace et du temps d'Alastair Reynolds.