En 2013, on veut des films vachement balèzes !

Non.

		BC : J'ai trouvé sublime le moment des retrouvailles avec la Terre et le poids.

+1

(À lire divers avis sur le Net, j'ai l'impression que cette séquence est assez clivante : le versant darwinien de la métaphore étant alors jugé trop grossier.)

		tj : sinon c'est un peu Apollo 13 en remake non ?

Je ne trouve pas, non.

Du même genre (film catastrophe dans l'espace),
mais pas assez similaire que lorgner sur le remake.

(un film comme Les naufragés de l'espace/Marooned serait plus proche)

Vu au ciné, La Stratégie Ender. J'avais l'impression de regarder quelqu'un jouer à un jeu vidéo pendant 2 heures, d'où un certain ennui qui me gagnait pendant tout le film. Sans parler de l'idéologie qui me semblait plus que douteuse, mais qui est heureusement mise à mal durant les dernières minutes. Sinon la réalisation est correcte, bien que mollassonne, et les effets-spéciaux rehaussent une histoire qui a, je trouve, beaucoup de mal à décoller. Je n'ai pas lu le roman, j'espère qu'il est bien meilleur que son adaptation.

Je vois que vous êtes de mauvaise foi ..
Qui aurait cru que Sandra Bullock en sous-vêtements pendant la moitié d'un film pouvait faire cet effet?
Cirey Milus peut aller se rhabiller!

		tj : Qui aurait cru que Sandra Bullock en sous-vêtements pendant la moitié d'un film pouvait faire cet effet?

;-)

Vu L’œil du Malin de Jack Lee Thompson.



Ce récit de paganisme en terres viticoles du bordelais compose un suspense au rythme lancinant, avare en rebondissements et donc avec un certain potentiel d’ennui...
Mais je l’ai suivi avec plaisir grâce à ses superbes décors (essentiellement le château de Hautefort, en Dordogne) et son casting quatre étoiles : David Niven et Deborah Kerr, dans les rôles principaux, côtoient Donald Pleasance, prêtre impassible, David Hemmings, redoutable archer, et créditée pour la première fois au générique d’un film, Sharon Tate, sorcière belle à se damner.

Cartel, le dernier Ridley Scott.
Scénario de Cormac McCarthy, casting excellent et tout ça pour quoi ? Une bouse.
L'histoire est finalement banale, mal racontée et le casting trop pléthorique et bien mal exploité. Seuls surnagent d'excellents dialogues.

La vénus à la fourrure de Polanski. N'ayons pas peur des mots : l'auteur signe ici un chef-d'oeuvre, que l'on peut sans hésiter mettre au niveau de Rosemary's baby, Le bal des vampires, Chinatown et plus que tous les autres Le locataire.
Une fascinante mise en abyme, portée par deux comédiens absolument exceptionnels, qui alternent sans cesse entre la pièce et le casting (Emmanuelle Seigner est absolument exceptionnelle), avec une belle réflexion sur le pouvoir de la fiction, la direction d'acteurs, la sexualité et beaucoup d'autres sujets.
Un film qui colle parfaitement à la sublime chanson du Velvet underground.

A propos de, et puisque je passe dans le coin :

		Citation : du bouquins sont shuntés , en particulier les rôles de Valentine et Peter à travers les réseaux sociaux (remarquable anticipation de Card

Bin, lol, c'était prévisible, hein....

Allez, bonne continuation et à dans pas tout d'suite ^^ !

		morca : Bin, lol, c'était prévisible, hein....

C'est clair ! =P

D'accord avec Olivier sur la grande qualité de la Vénus à la fourrure à ceci près que je suis tout autant énervé que Thomas, le protagoniste du film, quand on fait d'un film ou d'une pièce ou d'un livre... "une belle réflexion sur..." Un des gags du film est ce moment où Wanda dit "en somme c'est une pièce sur l'enfance maltraitée", ce qui met Thomas dans une colère noire...
Pas d'accord non plus sur la référence à la chanson du Velvet... Il y a beaucoup d'espièglerie dans le film de Polanski qui me semble absente de la chanson (mais je peux me tromper).