En 2014, d'aussi bons films qu'en 1974 !

		Jim : _ X-Men – Days of future past de Bryan Singer

Dans les bons points, je trouve que le jeune Xavier chevelu est pas trop mal réussi.
Que le coup du stade par Magneto est assez spectaculaire.
A part ça, je trouve que l'on est de plus en plus dans le blockbuster, et de moins en moins dans les questions éthiques qui avaient fait le succès des Singer.
J'avais bien aimé le précédent, mais celui-là m'a vraiment déçu. Et puis Omar Sy, totalement dispensable !

Pour se marrer, c'est par ici.

Quelque chose me dit que l'adaptation de Dr. Strange est mal partie.

Under the skin de Jonathan Glazer
(adaptation libre du roman de Michel Faber)



Lors des toutes premières minutes, hommage (avoué) au 2001 de Kubrick, j’étais sceptique, craignant que la mise en scène ne verse trop dans des effets de manches arty pour lesquels je n’ai qu’une tolérance très limitée… Heureusement, par la suite et jusqu’au générique de fin, je n’ai plus connu semblable gêne ; au contraire, la réalisation me fut très souvent un régal pour les yeux.

Le scénario est lui du genre qui me plaît tout particulièrement pour un film de science-fiction : clairement lisible dans son déroulement principal et laissant, dans les détails, des zones d’ombre que l’imagination peut remplir.

Quant à Scarlett Johansson, dont l’image de sex symbol et des choix de rôles discutables brouillent quelque peu l’appréhension des qualités de jeu, je l’ai trouvée ici remarquable, faisant passer une grande variété d’émotions avec peu de dialogues.

Bref, le plus beau film de SF que j’aie vu depuis longtemps.

Quelqu'un a-t-il vu le dernier Gilliam ?
Bouse or not bouse ?!

Pas vu Zero Theorem : je suis guère sensible au cinéma de Terry Gilliam. À regret.

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Vu Transcendence de Wally Pfister, le premier film du chef-opérateur de Christopher Nolan : un film que je ne pensais vraiment pas aller voir, au point de me faire spoiler toute son intrigue !
Mais dans le cadre d’une sortie entre amis, le choix d’un film importe peu…

Transcendence souffre d’énormes problèmes de scénario, avec d’atroces facilités dans toutes ses scènes-clés, toutes ses articulations majeures.
Problèmes de rythme également : toutes les scènes s’enchaînent trop vite, dans la première partie, ne permettant pas au suspense de s’installer ; et leur intensité quasi-égale, l’absence de temps faibles et temps forts, fait que le film manque de climaxs.

Quant au traitement du thème de l’intelligence artificielle, il s'avère simpliste et caricatural (sauf quand intervient le personnage joué par Paul Bettany, qui apporte des nuances bienvenues).

Quelques scènes à effets spéciaux spectaculaires évitent – de peu – au film d’être un naufrage complet.

J'ai comblé un manque dans les classiques avec le visionnage des Alien 3 & 4 ! Grand bien m'en a pris ! Avec une préférence pour le Fincher.

L'adaptation du Palahniuk - Choke - qui se laisse regarder sans être sensass.

Et puis Sleep dealer qui propose une réflexion assez intéressante et pessimiste pour ne pas dire glaçante du futur monde du travail (incluant le "contrôle" des flux migratoires). Ou comment déshumaniser davantage l'homme.

Machete kills, un ton en dessous du premier, mais en temps que divertissement pop corn, ça débranche le ciboulard et parfois ça fait plaise :))

		Citation : L'adaptation du Palahniuk - Choke - qui se laisse regarder sans être sensass.

C'est vraiment dommage que les acteurs soient un peu laissés à eux-mêmes par une réalisation franchement faiblarde. Vraiment dommage, car c'est (pour moi) le meilleur roman de Pahlaniuk.

		Maralan : [...] Et puis Sleep dealer qui propose une réflexion assez intéressante et pessimiste pour ne pas dire glaçante du futur monde du travail (incluant le "contrôle" des flux migratoires). Ou comment déshumaniser davantage l'homme. [...]

Je garde un très bon souvenir de ce film moi aussi : un exemple récent de SF à l'écran à la fois intelligente et sensible (même si on a déjà vu mieux ailleurs, bla-bla-bla, on sait...)

Un direct dvd (sauf erreur), The Machine, de Caradog W. James. Bien que n'apportant pas grand chose de nouveau dans la thématique de l'Intelligence Artificielle, le film est plaisant à regarder et doté d'une belle BO. J'ai bien aimé l'idée du développement par les cyborgs (d'anciens soldats blessés) d'un nouveau langage qui leur est propre, surpassant celui de l'homme qui se voit "détrôné" par ce qu'il a lui-même créée. La réflexion aurait pu davantage être poussée, cependant c'est un bon petit film de s-f.