En 2017, de la séance ciné sois adepte.

Pfiouuu... Fais chier, la mort.


Que dire de George Romero ? Un des grands maîtres de l’horreur moderne au cinéma.
Les quelques ratés de sa filmographie n’importent guère au regard de La nuit des morts-vivants, The crazies, Martin, Zombie, Le jour des morts-vivants, Incidents de parcours...




Quant à Martin Landau, il restera aussi dans ma mémoire comme le sbire au regard d’aigle du gangster joué par James Mason dans La mort aux trousses :

Oui aussi martin landau ...:/

		Olivier : le préquelle de Massacre à la tronçonneuse

« Réalisé par les Français Julien Maury et Alexandre Bustillo... »

J'ai trouvé leurs deux premiers films, À l’intérieur et Livide, atrocement mauvais ;
alors je n’ai pas vu leur troisième (Aux yeux des vivants) et ne chercherai certainement pas à voir leur dernier.

A venir
Laissez bronzer les cadavres, adaptation du roman de Jean-Patrick Manchette et Jean-Pierre Bastid par Hélène Cattet et Bruno Forzani, réalisateurs de Amer et L'étrange couleur des larmes de ton corps, deux films un tantinet expérimentaux dont j'ai beaucoup apprécié l'ambiance giallo.

Regardé hier au soir Chillerama de Adam Green et Joe Lynch avec Adam Rifkin, Sarah Mutch.
synopsis :
Quatre histoires dans un même film : les rues new-yorkaise envahies par un spermatozoïde géant, un jeune adolescent transformé en "ours-garou", les expériences à la Frankenstein d'Hitler et un dangereux pop-corn qui transforme la population en... zombies.

Du graveleux , du salace , du trash , du gore , dans ces histoires délirantes et complètement déjantées ; j'ai bien aimé le spematozoide géant et la satyre d'Hitler ...pour les 2 autres histoires , les chansons sympas de l'ours garou homo et la partouze géante des Zombies bouffeur de pop corn , n'est que caca- prout et fornication à tout va , mais on peut aussi trouver ça drôle...

Alabama Monroe de Felix Van Groeningen. Bizarre, kalaidoscopique, mais un des plus beaux films romantiques que j'ai jamais vu. Sans compter la découverte du style Bluegrass

		LeGaidol : Laissez bronzer les cadavres, adaptation du roman de Jean-Patrick Manchette et Jean-Pierre Bastid par Hélène Cattet et Bruno Forzani, réalisateurs de Amer et L'étrange couleur des larmes de ton corps, deux films un tantinet expérimentaux dont j'ai beaucoup apprécié l'ambiance giallo.

L’affiche est superbe, comme d’habitude avec les films de ce duo.

Je n’ai vu qu’Amer. J’avais aimé le travail sur l’image, l’atmosphère de certains passages (qui rappelaient le cinéma de Mario Bava), mais je trouvai que l’exercice de style, fétichiste, finissait par tourner à vide (et puis choisir de mauvais acteurs, c’est pousser un peu loin l’hommage à Dario Argento...)

----------

Les sorcières d’Eastwick de George Miller, d’après le roman de John Updike.

Bon, c’est cousu de fil blanc et certains effets spéciaux ont moins bien vieillis que d’autres, mais alors du côté du casting, c’est un régal, entre le cabotinage savoureux de Jack Nicholson (difficile d’imaginer un autre acteur dans son rôle) et le trio de charme et de caractère formé par Cher, Susan Sarandon et Michelle Pfeiffer (Michelle à cette époque, c’est une création du Diable ; ce n’est pas possible autrement...)