En 2013, on veut des films vachement balèzes !

Certes, mais c'est un peu l'ambivalence de King : s'il est parfois d'un pessimisme assez peu américain (The mist), il peut parfois se laisser aller à un coté fleur bleue, comme dans le film que tu cites.
Il est toutefois assez amusant de voir que cette novella a été publiée dans le même recueil que l'un de ses textes les plus dérangeants : Un élève doué.

Deux petits plaisirs purement régressifs :
Assaut sur la maison blanche, où les nord-Coréens tentent de prendre d'assaut la maison blanche mais, heureusement, il y a Gege Butler qui est là.
Gi joe : conspiration où un super-vilain se fait passer pour le président us, pense avoir liquidé les GI Joe et décide d'utiliser la force pour désarmer nucléairement le monde, parce que nos méchants ont des tubes de tungstène sur des satellites en orbite, et qu'un tube qui tombe de cette hauteur, ça fait 'achement de dégâts. Mais heureusement, il n'a pas tué tous les GI Joe...

Vu The watch avec Ben Stiller et Vince Vaughn: les aliens attaquent dans un bled de l'Ohio, Glenwiew, mais heureusement quelques citoyens veillent au grain et montent le Neighborhood Nightwatch pour surveiller tout ça. Marrant et gentillet. sans plus. Avec en filigrane quelques considérations sur les difficultés relationnelles familiales mari-épouse, père-fille, fils-mère.

Je viens de voir la B.A.d'Elysium.
Comme Oblivion, Time out, Wondeful day, Upside Down ça sent la nieme déclinaison du Metropolis de Fritz Lang.

Récemment :

Après avoir relu tous les Harris, il a évidemment fallu que je re-regarde les adaptions, donc
Le sixième sens, Le silence des agneaux, Hannibal et Dragon Rouge (je laisse aux midinettes le soin de regarder Hannibal Lecter : Les origines du mal) (malgré que je sois conquise par Gong Li).
Mise à part ça :
Hitchcock de Gervasi que j'ai attendu durant des mois avec impatience, impatience largement récompensée par la prestation d'Hopkins, un régal.
Warm Bodies de Levine : l'approche qu'il fait des zombies pouvant récupérer leur humanité est intéressante mais sans plus. Au lieu de passer 1h30 a regarder ce film, on peut juste se contenter de voir la bande-annonce, qui introduit tous les gags et dévoile la fin. Bref, contente d'avoir eu une place gratuite pour aller le voir, au lieu de payer 10 euros pour ça.

Dans les bonnes adaptations de Stephen King, j'ajouterais Stand By Me, ok, c'est pas de la SF, mais c'est quand même culte.

Le receuil Différentes saisons comprenait quand même des perles... dont les adaptations ont été plutôt bonnes.

De Palma, Kubrick, Romero, Cronenberg, Carpenter, Singer, Darabont.. même si beaucoup d'adaptations ont été des merdes absolues, je crois que pas mal d'écrivains se satisferaient de ces réalisateurs.

* Petite tendresse pour The Running Man... bouse totale sublime.

		Citation : Après avoir relu tous les Harris, il a évidemment fallu que je re-regarde les adaptions, donc Le sixième sens, Le silence des agneaux, Hannibal et Dragon Rouge

Tous des bons films.
Sauf l'Hannibal de Ridlley... que j'avais pas aimé du tout.

Cadeau
http://www.youtube.com/watch?v=X_DVS_303kQ

		Olivier : Gi joe : conspiration où un super-vilain se fait passer pour le président us, pense avoir liquidé les GI Joe et décide d'utiliser la force pour désarmer nucléairement le monde, parce que nos méchants ont des tubes de tungstène sur des satellites en orbite, et qu'un tube qui tombe de cette hauteur, ça fait 'achement de dégâts. Mais heureusement, il n'a pas tué tous les GI Joe...

Et bien figurez-vous que j'ai a-do-ré le premier GI Joe : un film con comme ses pieds mais qui n'essaie à aucun moment de nous faire penser le contraire et où on se régale devant un rythme sans faille. Depuis, j'attends sa suite avec impatience, c'est pour dire !

Et puis bienvenue à Ivy, tiens :)

Le pseudo a un rapport avec Soulcalibur peut-être ?

Cloué chez moi par une mauvaise crève, je viens juste de voir Hunger Games: scotché!!!
Un pitch relativement classique (et très Stephen King) d'une société totalitaire post apo avec ses jeux du cirque à la romaine et clins d'oeil marqués avec certains noms comme la nation Panem, la cité Capitole les personnages Cato, Cinna (joué par Lenny Kravitz), Seneca ou Claudius. A noter la perf sobre et magistrale de Donald Sutherland.
L'impression est un croisement de Rollerball (le vrai hein, celui de Norman Jewison avec James Caan) avec Battle Royale matiné de la société décadente du monde souterrain de A boy and his dog. On trouvera aussi pas mal de similitudes avec le prix du danger de Scheckley ainsi que sa magnifique adaptation écran française de Yves Boisset et bien sur avec le running man joué par Schwarzy
Bref une belle réussite pour un film à priori sans grandes ambitions philosophiques.