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Sujet proposé le 03/01/2013 à 13h29 par Jim |
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RE : En 2013, on veut des films vachement balèzes !
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17/05/2013 à 16h47
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| | | | | | BdN :
Le village des damnés, par Carpenter |
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Celui-ci m'a laissé très peu de souvenirs.
Par contre, j'avais beaucoup aimé l'original, par Wolf Rilla, avec George Sanders (et le gamin qui jouait dans The innocents, d'après Le tour d'écrou d'Henry James).
Et une affiche comme on en fait plus :
| | | | | | BdN :
des films angoissants avec des enfants en premiers rôles |
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Vu hier soir Children of the corn (d’après une nouvelle de Stephen King), une série B très inégale mais avec quelques beaux moments d’angoisse.
Il s’y trouve un gamin assez flippant dans le rôle du leader religieux ; enfin… « gamin », c’est ce que je croyais avant d’apprendre que l’acteur avait près de 25 ans ! ^^
| | | | | | Jean-jean :
"Star Trek" le film de 1979. |
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Pas vu un seul des vieux films Star Trek...
arte les rediffuse à partir du 26 mai (ainsi que First Contact) :
en est-il que vous me conseilleriez plus particulièrement de voir ? d'éviter ?
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"Je déteste les discussions, elles vous font parfois changer d'avis."
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RE : En 2013, on veut des films vachement balèzes !
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17/05/2013 à 19h43
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| | | | | | Jim :
Vu hier soir Children of the corn (d’après une nouvelle de Stephen King), une série B très inégale mais avec quelques beaux moments d’angoisse. |
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Les Enfants du maïs, parue dans le recueil Danse Macabre et qui reste un de mes textes préférés de cet auteur. Je n'ai par contre jamais vu l'adaptation, sortie en France sous le titre de Horror Kids si je me souviens...
| | | | | | Jim :
Pas vu un seul des vieux films Star Trek...
arte les rediffuse à partir du 26 mai (ainsi que First Contact) :
en est-il que vous me conseilleriez plus particulièrement de voir ? d'éviter ? |
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Le tout premier est excellent mais n'est pas un Star Trek, juste un film de space op' labellisé " Star Trek" histoire de relancer la série à travers des films exploitant les nouvelles technologies d'effets spéciaux étrennées par Star Wars ; ç'aurait pu être pire ceci dit puisque dans le manuscrit original de Roddenberry, le capitaine Kirk devait rencontrer Dieu...
Le second est très bon et marque le retour à l'esprit Star Trek de la série originale. À noter que cet "épisode" ne se conclue vraiment que dans le troisième film, une production de bonne facture dans l'ensemble et qui se laisse voir.
Par la suite, c'est la chute libre dans les abysses du n'importe quoi sans intérêt ou presque où le grand format du long-métrage se trouve presque systématiquement exploité de la pire façon et où chaque nouveau segment se cantonne à un nouvel épisode de la série, cette fois-ci transposée au cinéma au lieu de la TV (tu me suis ?) : les 4 et 5 en particulier ne font que rentabiliser une licence à succès, et il faut attendre le 6, Terre inconnue pour voir une évolution importante de l'univers Star Trek suite à un cataclysme qui frappe l'empire klingon, vieil ennemi de la Fédération avec laquelle les relations changent subitement suite à cette catastrophe... On perçoit mieux cette rupture dans l'équilibre des forces quand on connaît bien l'univers Star Trek dans son ensemble, aussi le profane y restera-t-il peut-être indifférent.
Le meilleur opus mettant en scène Kirk et certains des membres de l'équipage de la série originale reste sans conteste le 7, Générations, qui parvient à juxtaposer la toute première série (celle des années 60, donc) avec la seconde (celle des années 80-90, qui apporta d'ailleurs un renouveau plus que conséquent à la franchise) : si le récit en lui-même n'est pas transcendant, encore que pas dénué d'intérêt, le point fort de ce film tient surtout dans la rencontre entre Kirk et Picard, là aussi un événement dont le fan saisira mieux les nuances que le profane, ces deux personnages étant très différents l'un de l'autre et leur série respective reflétant bien sûr cet infléchissement d'une "génération" (de personnages comme de spectateurs) à l'autre – d'où ma remarque ci-dessus à propos du renouveau qu'apporta La nouvelle génération à la licence.
Pour finir, et puisque je me suis déjà exprimé en très positif sur Premier Contact, je passe directement à Insurrection et Némésis qui sont sans plus, surtout après l'apothéose du film précédent : ces deux derniers tombent dans le même syndrome que la série de films mettant en scène l'équipage de la série originale et qui les fait ressembler à des épisodes d'une série TV qui refuse de mourir bien que son heure soit passée depuis longtemps.
Voili, voilou, ce que j'en dis...
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« Fouiller son âme, quoi de plus mortellement ennuyeux. Mais échanger pour de bon des signaux avec Mars, voilà une tâche digne d'un poète lyrique. » - Ossip Mandelstam
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RE : En 2013, on veut des films vachement balèzes !
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19/05/2013 à 18h58
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Vu hier soir Furia (2000), premier long-métrage de notre Alexandre Aja national qui adapte ici la nouvelle Graffiti de Julio Cortazar. Avec une atmosphère aussi forte qu'originale et donc tout à fait remarquable, doublée d'un script lauréat du Prix Junior du meilleur scénario et illustrée par des interprètes au talent certain (dont l'idole d' Olivier notamment... ;] ), ce film nous raconte comment des artistes vont la nuit dessiner sur les murs de la ville pour résister au gouvernement totalitaire qui s'est emparé du pays bien des années plus tôt : à partir de ce point de départ pour le moins inhabituel, Aja nous conte une histoire d'amour certes assez convenue mais néanmoins bien menée et qui sait éviter la plupart des écueils sur lesquels buteraient des auteurs moins talentueux... Je vous le recommande chaudement.
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« Fouiller son âme, quoi de plus mortellement ennuyeux. Mais échanger pour de bon des signaux avec Mars, voilà une tâche digne d'un poète lyrique. » - Ossip Mandelstam
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RE : En 2013, on veut des films vachement balèzes !
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19/05/2013 à 21h34
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| | | | | | Gui :
Les Enfants du maïs, parue dans le recueil Danse Macabre et qui reste un de mes textes préférés de cet auteur. |
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Je garde aussi un très bon souvenir de cette nouvelle.
| | | | | | Gui :
[...] l'adaptation, sortie en France sous le titre de Horror Kids si je me souviens... |
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C'est ça, à un détail près : c'est au singulier (je me demande bien pourquoi)
| | | | | | Gui :
Star Trek [...] Voili, voilou, ce que j'en dis... |
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J'avais déjà noté La colère de Khan et First Contact ; tu confirmes.
Je verrai ces deux-là (et éventuellement le 3ème) ; ça devrait me suffire.
| | | | | | Gui :
Furia (2000), premier long-métrage de notre Alexandre Aja national qui adapte ici la nouvelle Graffiti de Julio Cortazar. |
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Je n'ai eu que de mauvaises expériences avec le cinéma d' Aja (il s'agissait d'Haute tension et du remake de La colline a des yeux) ; du coup, son nom est un peu un repoussoir pour moi. Cela dit, j'aime beaucoup l'univers de Cortazar : ça contrebalance.
Alors à l'occasion...
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"Je déteste les discussions, elles vous font parfois changer d'avis."
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RE : En 2013, on veut des films vachement balèzes !
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27/05/2013 à 08h55
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J'ai donc comme vous tous revu le premier Star Trek. Certes, je suis arrivé à 21h30, donc en phase d'approche bleutée. Ceci explique peut-être ma bonne humeur ? Moi, Jean-Jean, je suis d'accord avec toi, mais je ne l'ai pas pris comme ça. Je trouve que c'est le côté heu.... Hard Science du film quoi :)...
On dirait qu'il y a comme une volonté dans cette partie d'approcher 2001* - sous un angle différent - mais c'est peut-être ces couleurs qui défilent qui forcent la comparaison; Approche en spirale, oui, en même temps, on dirait souvent un simple travelling avant. Je trouve ça assez étonnant, cet imaginé long travelling et l' "action" du film soutenu par des dialogues décrivant des mesures - loufoques si on veut.
En plus, pas de bondieuseries stupides ou de papa-fiston, rappelons-le ^^ .
Y'a des effets spéciaux toujours fonctionnels - alors ok, j'ai pas vu le début, et j'ai vu très vite sur mobile - et d'autres par contre bizarrement pas terribles. Les incrustes d'éclairs, je veux bien que ce soit une question de moyens d'époque, mais les plans de l'enterprise, très "immobile" ou la sortie de spock, si on pense à 2001 ou star wars, on voit qu'il y avait des solutions meilleures, même si celles utilisées passaient sans doute à l'œil en 79 (?). Par contre, le défilé de couleurs, l'approche physique de Vger, c'est quand même toujours impressionnant.
* Je veux dire quelque chose d'opposé au boum-boum pan-pan, avec un rythme assez lent, un parti-pris heu, j'appellerai ça pseudo-hard...
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C'est pas vrai, je ne suis pas misanthrope. La preuve, j'ai des amis humains.
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dernière édition : 27/05/2013 à 09h06
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