En deux-mille-onze, il regarde encore des films, le gonze...

		Jekub : Sucker Punch, [...] j'en laisserais un avis plus détaillé demain.

A demain, donc. ^^
Je suis curieux d'avis développés sur ce film qui génère des réactions très contrastées.

Personnellement, je n'irai pas le voir car le peu que j'en ai aperçu a suffi à me persuader que je n'en aimerai ni l'esthétique ni le jeu des actrices et acteurs.
(Du coup, je ne me suis pas gêné de m'en faire dévoiler l'intrigue dans les grandes largeurs, via le site The movie spoiler ...)

		Jekub : La belle brochette de cinéphiles que je connais à beau dire que c'est du mâché, facile lissé, mais la scène du début m'a scotché. Vraiment.

J'ai regardé les cinq premières minutes sur la Toile et elles m'ont passablement énervé :-|
(et je ne me considère pas comme un véritable cinéphile; si ça peut m'éviter de finir en brochette ;-D)

		Citation : J'ai regardé les cinq premières minutes sur la Toile et elles m'ont passablement énervé :-|

Ah, tiens, les 5 minutes oui... m'énerve pas... me fait ni chaud ni froid en fait... esthétique clip qui repose sur le travail d'image et passe à l'eau de javel tout ce qui pourrait être empathique avec les personnages... image et musique, bon musique assez poncif de la reprise de morceau fashion - travail de voix typique et rythme un peu caricatural... un peu lourd d'effet le tout, genre en fait y'a que ça même...

		Citation : je n'en aimerai ni l'esthétique

moi non plus sans doute...

		Citation : ni le jeu des actrices

oh allez quoi ^^ !

Vu hier soir Mémoires d'une Geisha, le film de Rob Marshall adaptant le roman Geisha d'Arthur Golden : un récit relativement "téléphoné" mais que sa qualité de réalisation rend presque magique, du moins au début parce que le dernier tiers frise une certaine mièvrerie qui aurait pu (dû ?) être évitée... Sinon, c'est une excellente introduction à un élément clé de l'esthétique traditionnelle japonaise, et qui reflète à merveille la dureté de cette civilisation pour peu qu'on ne se laisse pas aveugler par ses "paillettes" – faute d'un meilleur terme...

Autrement, j'ai vu avant-hier Robot Jox, un pur navet que seuls les mechaphiles purs et durs apprécieront un tant soit peu. Le scénario est signé Joe Haldeman d'après les crédits du début mais il faut le voir pour le croire – à moins qu'il s'agisse d'un homonyme...

>> morca

Sur les cinq premières minutes de Sucker punch, ce n'est pas tant la lourdeur de la mise en scène qui m'a énervé que les choix scénaristiques.

Quant aux actrices, y a pas, les femmes-enfants me laissent froid
(par contre, Paz Vega dans le film d'hier soir... *-*).

Black swan hier soir .
N'importe quoi ce film .
En plus c'est pervers .
ET dérangeant .
ET malsain . Du vrai malsain pas sain , hein ? Pas du malsain bien bonnard comme avec ses films de guédros .
Il n'y a que moi pour avoir vu la parodie de Y a T il un pilote dans l'avion dans la scène de drague entre Portman et Cassel dans l'appartement d'icelui ?

Traitement de choc d'Alain Jessua.
Une des rares réussites de l'épouvante à la française, avec néanmoins une bonne dose de polar chabrolesque.
Annie Girardot est magnifique, Alain Delon en séducteur pervers est superbe, Michel Duchaussoy inquiétant à souhait.
Vraiment un grand film, que je recommande. D'autant que Jessua, c'est quand même très, très bon.

Vous aimez les films de gladiateurs monsieur ?

Tiens Lumet a grillé jusqu'au bout.

Point Limit, quand même (en sf, sinon d'autres ^^)

Death sentence de James Wan, un film plutôt réussi sur la question de la vengeance, avec une scène de poursuite en un plan-séquence d'anthologie.

tiens je le croyais disparu celui-là. Pour ceusses que ça interresse : 200.000 lieues sous les mers de Méliès. M'est avis qu'il a subi d'aquatiques outrages quand même ^^
http://www.cine-sf.com/1905-1909/1907/200-000-lieues-sous-les-mers/
Notez : je le vire de la sf par la même occasion, donc c'est plus parce qu'il - sauf erreur - n'était pas visible jusqu'ici - ou alors très difficilement - que je le signale... (mieux vaut regarder The Airship Destroyer, ama, ç'est bien mieux que Méliès, enfin bon, ce que j'en dis...)