Lectures de Janvier , pour récupérer....

		Citation : la mollesse de l'intrigue de Chromozone,

++++
j'ai abandonné au deuxième tome ...

Ce serait tout de suite plus rigolo si on avait les noms des auteurs français écrivant comme des élèves de 3e. Parce que là, à l'exception de Stéphane Beauverger (j'aimerais l'avoir en classe ce petit, ça me reposerait), en matière de polémique, c'est petit bras.

Mais voyons ! Ils écrivent tous comme des élèves de troisième, tous :

ALTAIRAC Joseph
ANDREVON Jean-Pierre
ANGE
BARBÉRI Jacques
BARJAVEL René
BEAUVERGER Stéphane
BELLAGAMBA Ugo
BERTHELOT Francis
BORDAGE Pierre
BOTTERO Pierre
BRUSS B.R.
BRUSSOLO Serge
CALVO David
CHAMBON Jacques
CHÂTEAUREYNAUD Georges-Olivier
CHATTAM Maxime
COLIN Fabrice
DAMASIO Alain
DANTEC Maurice G.
DAVOUST Lionel
DENIS Sylvie
DEPOTTE Jean-Philippe
DOA
DUFOUR Catherine
DUNYACH Jean-Claude
ECKEN Claude
FAKHOURI Anne
FAZI Mélanie
GABORIT Mathieu
GENEFORT Laurent
GUDULE
GUIEU Jimmy
GUIOT Denis
HELIOT Johan
HENRY Léo
HOUELLEBECQ Michel
HOUSSIN Joël
JAN Gabriel
JAWORSKI Jean-Philippe
JEURY Michel
JONQUET Thierry
JOUANNE Emmanuel
JOURDE Pierre
KAAN Jess
KLEIN Gérard
KLOETZER Laurent
LAINÉ Sylvie
LEHMAN Serge
LIGNY Jean-Marc
LOEVENBRUCK Henri
MANCHETTE Jean-Patrick
MAUMÉJEAN Xavier
MAZAURETTE Maïa
MERLE Robert
MUCCHIELLI Jacques
NOIREZ Jérôme
PAGEL Michel
PELOT Pierre
PEVEL Pierre
REOUVEN René
REY Timothée
RUAUD André-François
SIRE CÉDRIC
SPITZ Jacques
STEINER Kurt
STOLZE Pierre
SURAGNE Pierre
TRUONG Jean-Michel
WAGNER Roland C.
WALTHER Daniel
WERBER Bernard
WINTREBERT Joëlle
WUL Stefan
YOURCENAR Marguerite

:-)

Les classes de 3 ème sont vraiment surchargées......

[Mode Troll On]

Vu que la SF, c'est pas de la vrai littérature, mais de la lecture pour adolescents attardées, c'est un peu normal que ce soit si mal écrit

[Mode troll Off]

>BdN : c'est sûr que si tu te mets à enrôler aussi les morts, dont une immortelle, ça renforce mon intervention précédente ;-D.

Et personnellement, je ne trouve rien à redire de particulier au style de Beauverger, mais bon, ce que j'en dis, hein...

Et pour revenir au sujet, j'ai commencé Boulevard des disparus, d'Andrew Weiner. Pour l'instant, ça ne m'enthousiasme pas vraiment, on va dire...

		Citation : Et pour revenir au sujet, j'ai commencé Boulevard des disparus, d'Andrew Weiner. Pour l'instant, ça ne m'enthousiasme pas vraiment, on va dire...

Itou.
Son recueil Envahisseurs ! m'a davantage convaincu. On trouve d'ailleurs dans celui-ci la nouvelle à l'origine de ce roman. (Des nouvelles de D street, il me semble)

		Citation : Mais voyons ! Ils écrivent tous comme des élèves de troisième, tous

Non pas tous... D'ailleurs que vient faire Marguerite Yourcenar ici ? Et Manchette ? Dans cette liste il y a des gens géniaux, qui font que la SF est une littérature géniale. Il y a aussi des doublons... Mais il y a aussi effectivement un beau lot de bras cassés... Cela dit, pour répondre à LeGaidol, il m'est difficile d'en dire plus sans blesser, d'autant que certains sont des gens charmants... Je souhaitais simplement avancer une idée, qui ne blesse personne en l'état, celle de la SF comme littérature-refuge accueillante à de médiocres écrivains... Et ça, ça m'énerve par exemple quand j'achète un livre encensé par la critique (le small world des copains de la SF française) nommément le Déchronologue, et que je tombe sur un de ces médiocres... I want my money back...

Pour ma part, j'ai adoré le Déchronologue, et je ne comprends pas non plus la mise à bas du monsieur...De belles phrases, un poil démonstrative peut être, mais ça ne m'a pas choqué, bien au contraire.

Vous me faites gentiment rire en plus avec vos élèves de 3ème. En master (certes scientifique..), la moitié des gens écrivent en locution orale sans aucune idée d'une syntaxe restée à l'état farouche.

Je ne connais pas "Le déchronologue" et ne peut juger ni de ses qualités ni de ses défauts.

Par contre le propos de BC: "Et ça, ça m'énerve par exemple quand j'achète un livre encensé par la critique" me fait penser que je ne peux qu'embrayer à sa suite, que l'on peut ici, qu' apporter une autre pierre à l'édifice. Celle de l'épreuve du temps qui fait passer de l'encensement d'un ouvrage via le marketing/copinage habile des débuts à la chute du piédestal via les retours des acheteurs quelques temps plus tard. Comme si pour certains le temps d'importance était celui des premières ventes grand format, de la seconde couche en réédition poche, celui du buzz sur certains forums et au-delà de çà rien, si ce n'est de recommencer encore et encore avec d'autres titres.
Et là, je comprend l'énervement, celui du "J want my money back", d'autant que le prix du livre est un vrai souci pour l'acheteur.


Mille excuses, néanmoins, pour ce coup de gueule qui se veut généraliste autour de l'édition et consorts mais ne se centre donc pas sur un livre en particulier.