King
.C'est une journée ordinaire à Boston. Clayton Ridell attend tranquillement pour se payer une glace lorsque beaucoup de gens semblent devenir fou et se mettent à se battre, à s'entretuer, à se dévorer tandis que les avions tombent sur la ville.
Après une première partie assez forte où le héros traverse Boston en proie au chaos, le roman s'enlise ensuite dans une histoire assez classique de survie et de résistance dans la lignée du Jour des triffides de John Wyndham ou de La guerre des mondes de H.G. Wells. Mais le roman auquel Cellulaire fait le plus penser est Le Fléau du même auteur dans la description de la traversée d'une Amérique chaotique.
Ce roman est plutôt classique dans sa forme et l'histoire si elle contient des passages intéressants ne décolle jamais et continue avec un rythme rapide mais pas captivant. La vision des survivant se débrouillant en petit groupe sans aucune solidarité est assez réaliste et l'évolution des zombies arrive à être angoissante. L'écriture de Stephen
King
ne se renouvelle pas mais décrit toujours des personnages attachants et arrive à offrir quelques scénes émouvantes ou violente qui permet à ce roman de se laisser lire.Globalement, c'est un Stephen